Augustine de BERTHOLDI

 

 

 

 

 


Augustine de BERTHOLDI née BRAULTpetite cousine de l’écrivain, parente de Sophie-Victoire, sa mère. « Adèle Brault, vile et mûrissante, avait pensé à tirer parti de la jeunesse de sa fille qui offrait les plus rares promesses de beauté. Sand, protectrice des affligés, était intervenue, avait offert une indemnité en échange d’Augustine et fait de celle-ci la compagne de ses enfants. George préférait Augustine, soumise, douce et qu’elle appelait « sa vraie fille », à la dure Solange. »  (Lélia ou la vie de George Sand ~ André MAUROIS)

George Sand chercha à la marier au peintre Théodore Rousseau, à Maurice Dudevant, enfin à Charles de Bertholdi, émigré polonais amené à Nohant sûrement par Victor Borie. Grâce aux démarches de G. Sand, Charles de Bertholdi fut nommé percepteur à Ribérac (Dordogne). C’est dans cette même ville qu’elle fit la connaissance de Charles Duvernet, receveur pendant quelques mois en 1848.


3 septembre 1852 : « Mme Bertholdi a passé la journée au Coudray. »

23 juillet 1853 : « Mme Bertholdi et sa [belle] sœur vont au Coudray. »

18 décembre 1854 : « Titine va dîner au Coudray par une pluie battante… Titine revient à 10 h dans la voiture de Duvernet. »

11 septembre 1858 : « Nous allons au Coudray, … et nous ramenons Mme Bertholdi pour dîner au jardin. »

15 septembre 1858 : « Mme Augustine s’en va au Coudray à midi ½ »

« Pendant que tu es au Coudray tu devrais prendre les manuscrits terminés, et les ponctuer. » (Corr. GS ~ t. XV  lettre 8023 du 7 novembre 1858)

25 septembre 1862 : « Titine va au Coudray avec ses enfants. »

26 septembre 1862 : « Titine revient du Coudray … »